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 don't pray kids, it isn't fashion anymore. (vogue)

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MessageSujet: don't pray kids, it isn't fashion anymore. (vogue)   don't pray kids, it isn't fashion anymore. (vogue) EmptyVen 26 Avr - 0:34

under the mask.

PSEUDO/PRÉNOM ▬ moi, c'est captain psycho, mais tu m'appelles alan ou je te butte ! I love you ÂGE ▬ j'ai dix-sept ans. T'ES ARRIVÉ(E) COMMENT ? ▬ c'est axel qui m'a forcé à venir ici, nan mais celui-là Rolling Eyes ET T'EN PENSES QUOI DU FORUM ? ▬ faut pas poser ce genre de question aux admins hein hmm C'EST QUI TON AVATAR ? ▬ c'est (mon) nico tortorella. ma vie quoi. CRÉDITS DE CRÉATION ▬ je pique tout sur tumblr. AUTRE CHOSE LOUVETEAU ? ▬ j'espère sincèrement que vous vous amuserez comme des fous sur notre forum lèche

M. VOGUE FETHERSTONE
tu sais que j'ai presque fini par prendre goût à la douleur ?



id card
NOM : mon nom, c'est fetherstone, mais il n'a plus aucune signification à mes yeux. ⊰ PRÉNOMS : murdoch, mais je t'interdis de m'appeler comme ça. vogue, retiens juste le prénom vogue si tu veux venir me parler. ⊰ ÂGE : j'ai seulement vingt-deux ans. ⊰ RACE : tu veux que je sois quoi ? un vampire ? j'suis un humain va.⊰ LIEU&DATE DE NAISSANCE : ici, à cahir, le seize avril 1991⊰ EMPLOI/OCCUPATION : j'suis caissier dans une petite épicerie. c'est pas bien glorieux comme taff. ⊰ STATUT MATRIMONIAL : j'suis célibataire, depuis peu d'ailleurs. ⊰ ORIENTATION SEXUELLE : je sucerai pas ta queue gros. ⊰ QUALITÉS franc, direct, sincère, réfléchi, stratège, joueur, manipulateur, comédien, courageux, confiant, naturel, authentique. : ⊰ DÉFAUTS : têtu, impulsif, colérique, malchanceux, antipathique, réservé, déloyal, solitaire, égocentrique. ⊰ CHOSES À SAVOIR : - j'parle tout le temps avec mes mains, j'suis hyper expressionniste. faut toujours que l'on comprenne parfaitement ce que j'veux dire, tu vois. - j'ai une dizaine de cicatrices sur mon corps. c'est mes blessures de guerre - j'ai toujours une photo de ma grand-mère sur moi - je me lave toujours les mains, j'ai toujours peur de tomber malade - je n'ai jamais saigné du nez - je déteste le chocolat et tout ce qui passe à la radio - mon film préféré c'est black swan - j'adore l'électro - je préfère le shit à la beuh. j'en fume d'ailleurs, trop, souvent - je hais cette ville - je déteste tout le monde ⊰ GROUPE : smithwick's ⊰

big bad wolf.


☾ Êtes-vous né(e) à Cahir ?
✔️ Oui.
❒ Non. Je suis né(e) à nomdelaville.

☾ Avez-vous déjà vécu ailleurs ?
✔️ Non.
❒ Oui. J'ai déjà vécu à nomdelaville.

☾ Croyez-vous en l'existence de créatures surnaturelles ?
❒ Oui.
✔️ Non.

☾ Pensez-vous que la Légende de Cahir soit vraie ?
❒ Oui.
✔️ Non.

☾ Connaissez-vous l'existence des loup-garous et de leurs chasseurs ?
❒ Oui.
✔️ Non.


☾ Que pensez-vous du fort taux de mortalité à Cahir ?
❒ Les forêts regorgent d'animaux sauvage, il est donc plutôt normal.
✔️ Cahir doit abriter un groupe de psychopathes.
❒ Ces évènements ne sont pas normaux. On me prend pour un fou, mais parfois je me demande si la raison ne tient pas dans le surnaturel.

☾ Que pensez-vous de cette très riche famille récemment éteinte, les Whitehorse ?
❒ Une famille tout à fait respectable, une des fondatrices de la ville. Leur arrogance était tout à fait justifiée.
✔️ Ils se croyaient plus forts que tous : bon débarras !
❒ Il y avait quelque chose chez eux de tout à fait étrange... Comme s'ils en savaient plus sur la ville. Un secret de famille mort avec le dernier descendant ?

☾ Avez-vous un ami qui agit toujours bizarrement ?
✔️ Non, pas spécialement. Ils sont tous plus ou moins bizarres, mais qui ne l'est pas ?
❒ J'ai trouvé une petite arbalète dans son sac un jour. Qui se balade encore avec des flèches dans son sac ?
❒ Dans mon groupe d'amis, on adore faire des observations sur les gens les soirs de pleine lune : ils deviennent tous fous. Mais y en a un, toujours le même, qui n'est jamais là.

☾ Qu'est-ce qui vous correspond le mieux ?
❒ Avoir des super-pouvoirs ? Pourquoi pas, ce serait cool.
✔️ Les super-pouvoirs c'est dans les histoires. Nous avons assez d'outils pour nous débrouiller, pas besoin d'avoir de capacités surnaturelles.
❒ Je ne sais pas trop... Avoir des pouvoirs, c'est sympathique, mais ça doit vite devenir lassant.





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Dernière édition par M. Vogue Fetherstone le Sam 27 Avr - 15:35, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: don't pray kids, it isn't fashion anymore. (vogue)   don't pray kids, it isn't fashion anymore. (vogue) EmptyVen 26 Avr - 0:36

la mort, ma mort
when my fist hits your face
t'es pas heureux murdoch. arrête de prétendre le contraire, tu n'es même plus crédible. ton rire que tu exagères tellement, tes sourires que tu répètes si souvent, ça sonne faux mon gars. tout ce que tu fais, tout ce que tu dis, ça sonne carrément faux. tu réfléchis trop. tu ne ressens même plus rien. c'est comme si t'avais été déshumanisé, t'es dépourvu de sensations. je me demande si t'éprouves des sentiments quelques fois. t'es si étrange murdoch. tu souffres, tout le monde le sait. pourquoi ? personne ne le sait. tu caches tellement ton jeu. t'aurais peut-être bien besoin de te confier tu sais. tu peux pas t'enterrer dans ton lot de secret, ce n'est pas possible. tu t'es enfermé dans un gouffre empli de vice et de fantaisies nocturnes. ces dernières se sont éprises de toi et voilà que tu te mets à penser comme eux. allez. fais-le. t'en meurs d'envie. je le sais. prends ce putain de couteau. fais pas ta tapette. tu peux le faire murdoch. voilà c'est bien. maintenant, rentre dans ta chambre et enferme toi à clef. vite. dépêche toi. tourne cette putain de clef, merci. désormais, retire ton t-shirt, tes chaussettes, ton jean troué et délavé, vas-y. c'est parfait. assieds toi par terre, contre le mur et vas-y. amuse toi. ressens quelque chose, pour une fois. prends le couteau, pose la pointe sur ta cuisse et enfonce, enfonce et enfonce encore. tu souffres. tu sers les dents. c'est bien. tu fais glisser la lame le long de ta fine cuisse. le sang ruisselle de la plaie. tu sues. la douleur est intense. t'as les larmes aux yeux, mais es tu sûr de pleurer à cause de la souffrance que tu t'infliges ? allez, attaque toi à ton bras. plante la lame, et glisse. saigne, soupire, souffre, libère toi ! ton mollet droit. plante la lame, et glisse, soupire, souffre, libère toi ! ton bras. plante la lame, et glisse, soupire, souffre, libère toi ! j'suis fière de toi murdoch. j'suis vraiment fière. mais tu devrais pas trop en abuser. ça commence à beaucoup saigner, vraiment. mais tu sembles t'en foutre. tu continues. tu commences même à rire entre deux sanglots. t'es taré. arrête toi maintenant. stop. stop murdoch, tu vas crever si tu continues. tu commences à te sentir faible mais tu cesses pas pour autant, tu continues, tu t'acharnes sur ton corps déjà énormément meurtris. tu veux ressentir quelque chose. tu veux te sentir humain, juste humain. tu fermes les yeux. la douleur est si intense, mais comme dirait apollinaire, ton mal est délicieux. tu brûles de partout. ton sang âtre, brûlant coule sur la moquette de ta chambre, tu en es recouvert. t'es dégueulasse, si tu savais. tu te sens si mal, mais si bien à la fois, tu ne comprends plus rien, il n'y a plus rien à comprendre. tu tombes. tu ne te relèveras jamais.



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la sentence, ma sentence
and your face hits the floor

t'es où ? t'es pas chez toi. pas la même odeur, c'est bruyant, il fait froid. t'ouvres faiblement tes yeux bleus et tu affrontes un plafond profondément blanc. tu tournes doucement la tête. des fleurs, des meubles blancs - partout. des appareils dont tu ne connais pas l'utilité. ton pli du bras te gratte. tu le fixes. t'es attaché à des fils. tu comprends pas trop. t'es dans les vapes. c'est quand un homme, qui s'apparente à un médecin, s'approche de toi que tu parviens à comprendre que t'es à l'hôpital. il te sourit longuement et remue ses lèvres. tu voudrais comprendre ce qu'il te dit, mais tu n'y arrives absolument pas. tes yeux se referment, tu t'endors à nouveau.

des pleures, des cris. tu te réveilles une seconde fois et c'est brusquement que tu tressaillis devant le visage gonflé de ta mère. les yeux grands ouverts, tu la fixes alors longuement et c'est vivement qu'elle vient embrasser ton doux visage de ses lèvres rosées. ton père est là aussi, au fond de la chambre, les bras croisé, il t'adresse un sinistre et sombre regard. pourquoi t'as fait ça ? ils ne le savent pas. personne ne le sait. tu veut prononcer quelques mots, des banalités, mais t'es trop faible. ta mère fait son signe habituel de croix. cela t'exaspère déjà. pourquoi t'es pas resté endormi à jamais, hein ?





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Dernière édition par M. Vogue Fetherstone le Sam 11 Mai - 14:51, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: don't pray kids, it isn't fashion anymore. (vogue)   don't pray kids, it isn't fashion anymore. (vogue) EmptyVen 26 Avr - 0:36

les souvenirs, mes souvenirs
i don't need your fucking help

t'as l'impression d'avoir le cul dans cette chaise depuis des heures. t'as qu'une seule envie, celle qu'on te foute la paix et ce n'est malheureusement pas ce qu'ont compris tes parents puisque c'est chez un psy qu'ils t'ont emmené le jour de ta sortie à l'hôpital. t'es seul devant ce gars bedonnant, mi-chauve et qui pue de la gueule. t'as envie de lui en coller une pour qu'il se la ferme, mais t'as pas la force. murdoch. marmonne-t-il. tu peux pas t'empêcher de grimacer. tu n'aimes pas ton prénom, murdoch ? tu lèves sombrement tes yeux vers lui. très bien, très bien. si tu ne l'aimes pas, je vais t’appeler.. le petit bonhomme guette à droite, à gauche et c'est finalement dans une pile de journaux posés sur sa table qu'il trouve son inspiration. vogue, ça te plaît ? c'est le nom d'un magasine de mode, mais ça te fait bizarrement sourire. qui peut bien s’appeler vogue ? personne, vraiment personne, et cette idée t'enchante grandement ! vogue, dis moi ; pourquoi ? pas très originale comme question. mais tu te prêtes au jeu parce que tu sais très bien que si tu parles pas, il ne te lâchera jamais. tu plonges ton regard par la fenêtre et contemple le ciel. il t'a toujours fait rêver ce bleu. ce bleu si intense, si pur, si imparfait et parfait à la fois. ce bleu qui te rappelle tant de choses et si peu de choses à la fois.

t'étais qu'un gosse, comme presque tous les autres. t'étais pas plus intelligent qu'un autre, pas plus con qu'un autre, pas plus beau, pas plus moche. t'étais l'image même de la banalité. comme tous tes camarades, tu aimais le chocolat, tom and jerry, et ta maman. cette dernière t'avait légué bien des valeurs, tout comme ton papa. ils t'aimaient. oh ça oui. comment en douter ? ils pouvaient mourir pour leur unique enfant. les fetherstone était un couple extrêmement croyant. des catholiques pour être plus précis. croyants et pratiquants, ta famille et toi, vous vous adonniez tous les soirs aux prières remerciant jésus du bonheur apporté sur terre. tu te posais pas vraiment de question, t'étais un enfant, tu croyais tes parents, tu croyais réellement en dieu. comme tout bon catholique qui se respecte, t'avais été baptisé quelques années après ta naissance. tu continuais d'expérimenter ta foi en dieu en te rendant tous les dimanches à l'église et en participant au caté organisé par ta propre mère ainsi que le prêtre de cahir. ce prêtre. ce traître. tu étais seul avec lui. tu lui avais donné ta confiance, ton amitié, ta sincérité et ceci ne l'avait empêché en rien de poser sa vieille main sur ta bouche de gamin et de te caresser de sa seconde. tu voulais hurler, il te faisait si peur, mais tu n'y pouvais rien. il te disait que si par malheur, tu racontais ces incidents à tes parents, jésus aurait été très mécontent et se serait vengé de toi en te brûlant en enfer. alors tu te taisais, et chaque jour, les attouchements devenaient de plus en plus intenses. oh, ce manège durait, durait, et durait pendant des années. il te violait, régulièrement. cela te faisait si mal et au lieu de le dénoncer, tu cultivais ta douleur et ta peur. il répétait toujours ton prénom, murdoch. il te dégoutait de toi même. il t'accusait de faire du tords à ta foi. mais quel foi y avait-il à avoir dans cette situation ? un homme qui prône la religion et qui décide de te faire autant de mal ? ce n'était pas logique, absolument pas, vraiment pas. tu comprenais rien.

tu grandissais. avec le temps, le recul, tu pouvais te permettre de juger ce qu'il te semblait bon ou mauvais et il était évident que la religion que t'imposait tes parents était réellement mauvaise pour toi. vous étiez à table, lors d'un repas et tu avouais ton refus de croire encore en dieu, et tout ce qui s'en suit. blasphème. ta mère partit en sanglot. ton père te claqua vivement. épuisé par toutes ces histoires qui te rongent depuis tant d'années, tu décidas alors de tout avouer à tes parents. les attouchements, le viol, les menaces. tu hurlais, tu pleurais à la fois. ton père te prit par les cheveux et plaqua au sol pour te tirer jusque dans la cave. il t'y jeta et t'y enferma. tu avais beau hurlé. il ne venait pas. il ne t'ouvrait pas. tu étais dans le noir. ça puait. il faisait si froid. tu criais, tu t'égosillais en frappant à cette putain de porte fermée à clef. mais ni lui, ni ta mère ne venaient t'ouvrir. tu t'assis sur les marches et ce fut doucement que tu posas ta tête sur le mur rigide et gelé. une larme coulait le long de ta joue. l'injustice, ça t’insupportait.

tu reviens poser ton regard sur ton psy. comment lui avouer la vérité ? non, tu ne peux pas. c'est trop difficile à avouer, et qui te croirait ? tes propres parents ne te croyaient pas. la religion, l'argent, c'est ce qu'il fait le monde. tout le monde s'en fout de ce que tu penses, il faut juste obéir aux règles et putain, ça t'étouffe ça. ça te tue. obéir, c'est pas ton truc. tu veux être libre. vivre comme tu le sens quoi.. tu lèves soudainement ta tête, ferme les yeux et laisse une larme couler le long de ta joue. oh non, tu ne vas pas lui dire la vérité, ce serait trop facile. j'ai des problèmes de coeur monsieur.. vogue, parfait comédien.


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la liberté, ma liberté
i ate myself and cried

Il est maintenant temps de nous décrire l'histoire de votre personnage. La forme vous est libre, mini-rps, pages de journal intime, anecdotes détaillées, chronologie, le tout est d'être précis et le plus consciencieux possible. Une trentaine de lignes est demandé, ce qui est peu étant donné la largeur du cadre. Surveillez bien votre orthographe et votre conjugaison, ces critères seront pris en comptes à la correction - n'oubliez donc pas de vous relire et de passer vos textes sous correcteur. Sur ce, bonne rédaction !



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