one upon a time.

everything was perfect, absolutely perfect.

Je ne sais pas par quoi commencer. Maman m'a donné ce carnet pour que je puisse parler à quelqu'un, raconter mes histoires, des histoires... enfin bref. Elle est tellement naïve, de pouvoir penser cela. Elle croit vraiment que je vais aller mieux ? Elle rêve, elle rêve. Mais bon, je vais quand même essayer de faire un effort, pour elle.
Mes parents sont des loups-garous de nature, voilà, c'est dit. Ce qui fait de moi aussi une louve de pur souche, youpi. De plus, ils sont bourrés de frics comme pas possible. Genre millionnaire, vous voyez ? Ouais, mon paire est un traider. Genre, il doit avoir une centaine de millions, une grosse maison à hawaïï, deux porshes et... et bref. Ah, aussi ! On a une maison de vacance à Dublin, un loft à Paris. C'est parce que j'ai tout ce que je veux. Enfin presque... Ma mère, depuis qu'elle a rencontré mon père (ça doit remonter à deux ans avant ma naissance), a décidé de ne plus travailler, mais elle est dans quelques associations caritatives pour ne pas trop s'ennuyer. J'avais vraiment une enfance de rêve, un terrain de jeu pour moi et mes copains, j'étais dans une excellente école. Oui, tout était magnifique.

first page.

c'est toujours les gens qu'on aiment le plus qui partent en premier..

Douze années passèrent depuis. Douze années sans doute les plus calmes de ma vie. Mais elle en avait décidée autrement, c'te grosse pimbêche. Connaissez-vous l'absence constante d'un proche ? Cet être que vous avez tant chéri, de toute votre âme et de tout votre corps ? Et bien je l'ai vécu. Et pourtant si jeune, je savais déjà ce que c'était, je pouvais déjà m'y préparer. C'était à cause d'un chasseur, qu'il était mort. Un chasseur inexpérimenté qui a eut le "bonheur" de le viser en pleine poitrine, d'un coup, comme ça. Ça ne prévient pas, ces choses là. Et ce fut une longue décente aux enfers, longue de deux ans. Deux ans à pleurer, à souffrir, à se laisser mourir petit à petit. Mon père était tout pour moi, tout.

seconde page.

faire un sourire, c'est rendre le monde heureux.

C'était un jour pas comme les jours. Vous savez, ces jours où tout vous paraient si fade, si amer et sans gouts et puis tout d'un coup, tout devient rose bonbon ? Et bien c'est ce jour là que tout est terminer, que mon cauchemar s'est envolé comme un grand. Ce jour là, une fille est venue. J'étais tellement dans les vapes que je ne l'avais pas reconnu. Au collège je n'avais pas d'amis, je ne voulais pas en avoir, je ne voulais pas qu'on m'aide. Mais cette fille là, avec ses cheveux bruns et sa taille de mannequin, m'était venue à moi comme le messie. Je ne savais pas qui elle était, en faite. Enfin elle me disait peut être quelque chose car je l'avais laisser entrer comme une amie. « Où est ta chambre ? » M'avait-t-elle demandé d'un air enjoué. Trop surprise sur le coup, je la fis monter sans dire un mot. Et en une heure, on était devenue meilleures amies pour le vie. J'avais un maillot de bain, un short et un tee-shirt moulant. Elle m'avait laver les cheveux, me les avait remit à neuf. On avait brûler mes cahiers dans le jardin et ensuite nous étions parti pour la plage. Il y avait beaucoup de monde se jour là, nous avions monter dans un bateau ou plusieurs jeunes de notre âge y étaient aussi, ils avaient notre âge, une fille et deux garçons. Je ne pouvais pas tenir en place, je devais être tout le temps en mouvement. Nous nous étions lancés un défi, celui de sauter du haut du mat. Au départ je n'étais pas pour, car j'avais un peu le vertige mais je m'étais très vite prise au jeu. Je devais passer avec le mec, le plus grand des deux. « Prête, Lonàn ? » J'éclatais de rire. « Quand tu veux, Menson ! » Lui avais-je répondu en prenant une grande respiration. Et nous sautions tout les deux. C'était sans doute l'une des meilleures journées de ma vie.

third page.

les erreurs sont faites pour apprendre.

Après ce jour, mes nouveaux amis et moi avions trainer tous les jours ensemble. Jeff sentait toujours le café, Emie les fleurs, Jonas la cigarette et Lola le chat. Ne me demander pas comment je le savais mais je le savais. Je pouvais aussi entendre les sons que les autres ne pouvaient pas. Comme une machine à café, une abeille... J'étais plus endurante que les autres, je le sentais. Je courrais plus vite, j'avais plus de réflexes et je ne savais pas du tout d'où cela pouvait provenir. Un jour, il me vint à l'idée que ma mère le savais peut être. Je lui en parla. Elle était d'abord septique, puis petit à petit, son regard se paraissait de petites étoiles, comme-ci cela lui rappelait de bons souvenirs. Mon père et ma mère était des loups-garous. C'est ce qu'elle a dit. De pure race, cent pour cent plus vrais que nature. Je pense qu'au fond je l'ai toujours su, mais sans trop le vouloir vraiment.
Ce soir, pour « fêter » cette nouvelle, j'avais décider de tous les emmener en boite, et c'est moi qui payais. L'alcool coulait à flot, et on s'en fichait de ne pas avoir l'âge pour boire. Ouais, j'avais décider de me lâcher comme ce n'était pas permis.

fourth page.

il faut craindre la peur, pour avancer.

Il est maintenant temps de nous décrire l'histoire de votre personnage. La forme vous est libre, mini-rps, pages de journal intime, anecdotes détaillées, chronologie, le tout est d'être précis et le plus consciencieux possible. Une trentaine de lignes est demandé, ce qui est peu étant donné la largeur du cadre. Surveillez bien votre orthographe et votre conjugaison, ces critères seront pris en comptes à la correction - n'oubliez donc pas de vous relire et de passer vos textes sous correcteur. Sur ce, bonne rédaction !

fifth page.

se taire, prier, travailler, sourire.

Il est maintenant temps de nous décrire l'histoire de votre personnage. La forme vous est libre, mini-rps, pages de journal intime, anecdotes détaillées, chronologie, le tout est d'être précis et le plus consciencieux possible. Une trentaine de lignes est demandé, ce qui est peu étant donné la largeur du cadre. Surveillez bien votre orthographe et votre conjugaison, ces critères seront pris en comptes à la correction - n'oubliez donc pas de vous relire et de passer vos textes sous correcteur. Sur ce, bonne rédaction !